lundi 3 décembre 2012

Fiction : Au delà des verrous.

Comme une envie de faire une petite parenthèse pour commencer le mois, en glissant une petite fiction au milieu de tout ceci...

Les derniers rayons semblaient disparaître à l'horizon, les fermiers allaient coucher leur bétail, le râle du hibou commençait à se faire entendre... On allumaient quelques bougies afin d'éclairer chaleureusement les lieux.

Il vient me chercher après que je me sois préparée selon ses envies, pomponnée et corsetée.
Tendrement il me serre dans ses bras, me dépose un baiser sur la joue, pour descendre dans mon cou, ses mains parcourent mon corps pour caresser délicatement mon doux mont de Vénus, fraichement épilé, pour enfin le pénétrer de ses doigts. Il me complimente, il me remercie d'être là pour lui et de me donner de la sorte à lui.


Il me recouvre d'un tissu précieux, le noue à ma taille en me laissant nue sous l'étoffe. Il me conduit dans son antre, j'ai peur, mais cette peur mêlée de désir, je suis trempée...

Il referme la porte de son "atelier", si l'on peut appeler cela de la sorte. Il se penche, sort des cordes de chanvres qui étaient dissimulées dans un coffre, celles qui piquent et grattent. Il fait glisser la corde sur mon corps, m'attachant étroitement les seins, les mains pour me diriger vers un objet fixé par une ventouse au mur. De près, je constate que c'est une forme rappelant le sexe masculin, il colle mon sexe tout contre, légèrement entré en moi... J'ai honte. Il m'attache au crochet mural, court, afin de restée ainsi pénétrée par le jouet...
" - Cette nuit, tu vas être gentille et te défoncer sur cet objet comme une grande. Et bien sûr je viendrai constater ma chérie. " J'ai peur, mais je m'exécute. De toute manière, il est déjà en moi... J'ai honte, son regard insistant, m'oppresse. Mais je veux lui faire plaisir.

Il se saisit de son sexe, qu'il introduit entre mes lèvres, je m'active de ma langue autour de ce pieu, il m'insulte et me demande de le finir, je le fais... Attentivement. Il jouit, certes mais sur mon corps, je me sens honteuse mais en proie au plaisir, que d'être ainsi humiliée et chienne...

Tout à coup, il me fait glisser une écuelle, la même que les véritables chiennes, celle que l'on voit sur les photos... Il versa de l'eau dedans. " - Une vraie chienne, ça possède Sa gamelle et ça aime se défoncer la chatte, alors action petite Pute ! " Il me fixe des pinces aux seins et il m'abandonne telle quelle. En m'ordonnant de ne pas m'arrêter.


Une heure plus tard, je remarque la lumière par-delà les volets, je sens qu'il va revenir, que mon calvaire ne faisait que commencer... Je ne peux m'empêcher de l'imaginer...
Qu'est-ce qu'il est beau ! Vêtu de son costume, la cravate autour du cou, la classe incarnée, je me sens chavirer, rien que d'y penser, je pourrais jouir ? C'est impossible !

Et là, j'entends la clef s'introduire dans la serrure, la poignée tourner mystérieusement, s'amuse t-il de moi, joue t-il avec mes nerfs ? Lentement, la porte s’entre-ouvre, il a les mains dans le dos, je sais qu'il me prépare quelque chose.

Il se dresse face à moi, quelle prestance, quelle assurance, et là je remarque soudain qu'il tient en ses mains, ce dont je redoute le plus, un martinet... J'aime le bruit, mais la sensation, je ne la connais pas ! Et à sa ceinture, une cravache.


Je suis fière de le servir... Il détache les liens qui me liaient à cet engin fixé au mur, il m'amène à lui... Je suis sale, le sol poussiéreux m'a souillée, et sa liqueur répandue sur mon corps, a séchée. Je suis extrêmement gênée. Il me repousse à terre, me ligote étroitement et me bâillonne.
La cravache s'abat violemment sur moi, laissant des marques rougeâtre, il me plaque au sol, me maintient à sa merci. Il sourit, il est beau... Il me baise à nouveau profondément, et il jouit à nouveau sur mon corps meurtri, j'aime ça malgré tout... Il me positionne à quatre pattes comme une vraie petite chienne, il me frappe les fesses avec le martinet, il me prend le cul, me faisant remarquer que j'adore ça.

Il me force enfin à le sucer, et il jouit encore... Je le sens s'écouler en moi. Je me sens lui appartenir !

Il me relève, je l'aime, je chancèle, il me dit que je suis belle, me remercie, il me dit que je suis Sienne et ça le rend heureux, je le vois dans son regard. Il m'ordonne d'aller me doucher, car je suis salie...


Après ma douche, je le rejoins, il est assit dans le canapé. Il me permet d'être à ses pieds, de jouir de sa beauté et de sa puissance, tout contre lui... Je le remercie trempée à ses pieds...

Il me prend une dernière fois, en douceur, avec toute la tendresse et l'amour du monde, nous nous endormons ensemble, entrelacés. Je suis à lui, ma laisse toujours autour du cou, offerte à ses plaisirs, ses désirs...

Je l'aime.


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