vendredi 29 mars 2013

Fiction : Une intrusion.

Il lui caressa délicatement la joue afin de ne pas la réveiller, du moins pas tout de suite...

Il l'observe silencieusement, il s'imprègne de l'air ambiant. Si elle savait ce qui l'attendait, elle aurait sûrement prit soin de fermer la porte d'entrée. Ce soir, il n'est pas censé être là, elle ne s'est douté de rien lorsqu'il lui a dit de retirer ses clefs de la serrure avant d'aller se coucher, naïve !

Qu'elle est belle ainsi endormie, se dit-il avant d'enfiler sa cagoule. Doucement, il s'arme de son couteau de combat, après tout cela doit ressembler à une agression ! Il dégaine des menottes et l'attache aux montants du lit sans ménagement. En un instant, la voici attachée, la couteau sous la gorge, la main lui empêchant tout son, elle est à sa merci...


Sans un mot, il lui enserre la gorge de toute sa force, lui bloque la respiration, les cordes vocales. Tout s'accélère, il lui déchire les sous-vêtements au couteau, la bâillonne avec un des lambeaux de tissus, il ouvre son pantalon, lui colle une gifle, puis une seconde et il s'enfonce en elle sans crier gare... Mais elle est humide !?

Soudain, il se stop net, promène son couteau lourdement sur son corps, elle sent sa mouille dégouliner le long de sa cuisse, imprégner le drap, il la prend à nouveau violemment. Il lui pince les tétons, les tirent, les tords et dans un ultime va-et-vient il se repend sur son ventre.

De sa main, il étale sa semence sur elle, elle supplie... Elle se sent salie, mais excitée... Il introduit ses doigts en elle, il la fouille avec force, hargne et cruauté, il lui fait lécher sa propre mouille mêlée au goût de son sperme. Elle a honte, commence à pleurer... Sans un bruit.

Il prend ses seins dans ses mains gantées de gants d'intervention, il les malaxent, les maltraitent, lui arrache des cris de douleurs, elle supplie... Il sourit.



Il promène a nouveau sa lame sur elle, ses seins, de la pointe il lui dessine des griffures sur le corps, il glisse vers sa chatte... Il frappe son clito à plusieurs reprises, elle hurle.

" Tu n'es vraiment qu'une petite pute espèce de chienne !! REGARDE-TOI !!!! Un inconnu te baise, te viole, te menace et toi ? Et toi TU MOUILLES comme UNE SALOPE !!!! "

Elle le reconnaît, il sourit...

- " Oui maître, pardon maître... Mais je vous ai reconnu ! "
- " C'est cela, avoues que tu es une petite catin ! Bien, tu le voulais ton maître m'as-tu dis avant d'aller te coucher ? "
- " Oui, par SMS maître... Dieu merci, je vous aime !! "
- " Et bien le voilà ton maître, maintenant ferme-la, écarte les jambes et après nous irons promener... "

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